Votre atelier de travail est faiblement éclairé et vous ne savez pas quelles sont les lampes d’atelier qui vous conviennent le plus ? Les ombres vous causent-elles une fatigue oculaire, et des migraines ? Si vous avez partiellement ou totalement répondu affirmativement à ces questions, cela veut dire que vous devez changer ou améliorer l’éclairage de votre atelier.
Nous vous communiquons quelques conseils pour réussir cette opération. Il s’agit d’un investissement que vous entreprenez pour optimiser votre énergie et améliorer également la qualité de votre travail. C’est pour cela qu’il faut faire les choses correctement et ne pas acheter des produits de mauvaise ou de moyenne qualité.
Suivez ces étapes pour votre projet de rénovation ou d’amélioration de l’éclairage de votre atelier de travail.
Une vue d’ensemble
Il faut commencer par établir un aperçu général pour savoir ce qu’il faut corriger, ce qu’il faut absolument avoir et ce qu’il faut éviter. En effet, il existe quelques facteurs à prendre en considération pour évaluer ou décider les lampes d’atelier à choisir ou à bannir, à savoir les lumens, la température de la couleur, l’indice de rendu des couleurs, le type d’ampoules etc.
Il faut également déterminer le nombre de dispositifs d’éclairage dont vous aurez besoin, ainsi que la configuration optimale pour chacun.
Le choix du type d’ampoule
Il vous faudra d’abord choisir entre les ampoules fluorescentes et les ampoules LED, qui sont les types d’ampoules d’atelier les plus utilisés.
Les ampoules LED sont de plus en plus abordables et comportent de nombreux avantages par rapport aux lampes fluorescentes, comme l’absence de clignotement, une consommation d’énergie plus faible et donc une réduction des coûts. En outre, elles s’allument même s’il fait très froid dans votre atelier de travail. Il faut noter aussi qu’elles sont immédiatement lumineuses, contrairement aux lampes fluorescentes qui deviennent graduellement plus lumineuses.
La température des couleurs
La température des couleurs est la deuxième décision que vous devez prendre après le choix du type d’ampoule. Il s’agit du degré de température de la lumière, mesuré en Kelvin. Une lampe à incandescence est très confortable, également appelée lampe à lumière chaude, à environ 2 700 K. Tandis que l’éclairage que l’on trouve généralement dans un bureau ou un garage est plus froid, également appelé éclairage naturel, généralement autour de 5 000 K et parfois jusqu’à 6 500 K, ce qui, selon la plupart des gens, est presque une lumière bleue et cela crée un environnement très stérile.
L’indice de rendu des couleurs
L’étape qui suit le choix de la température des couleurs est logiquement le choix de l’IRC (l’Indice de Rendu des Couleurs). Cet indice mesure la précision avec laquelle l’éclairage vous permettra de voir les couleurs.
Si vous travaillez avec des finitions et des teintures, vous devez être en mesure de voir les couleurs aussi précisément que possible. Plus l’IRC est élevé, mieux c’est (échelle de 0 à 100). L’idéal est de parvenir à une valeur comprise entre 92 et 95, ce qui semble être l’IRC le plus élevé que l’on puisse obtenir pour les lampes à tube LED.
Le type d’installation
Il y a deux types de câblage, certains luminaires doivent être câblés individuellement (câblage fixe) et d’autres doivent être branchés. Il est à noter que pour les luminaires nécessitant un câblage fixe, vous devrez, de préférence, faire appel à un électricien agréé pour faire passer des fils dans votre plafond.
Voici les éléments principaux pour votre nouvelle installation ou rénovation, prenez les en considération et adaptez chacun de ces critères à vos besoins et à votre budget. Sans oublier que cet investissement vous aidera à être plus productif et préservera votre santé.
Laisser un commentaire ou un avis